"Au carrefour musical noir et blanc"
"Violons et derbouka, ouds et accordéon, chant, c'est le taarab, extase en arabe, mais musique noire africaine. Chanté en swahili, cet art irradie la côte orientale de l'Afrique où il est né d'un croisement forcé entre cultures arabo-musulmane et noires. Cette fusion est au coeur d'un mini festival à la Cité de la musique consacré à un métissage moins connu sous nos latitudes que son pendant américain."
Par Bouziane DAOUDI dans Libération
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