Depuis quinze ans, elle est l’une des plus célèbres top models. Retour sur ce long parcours semé d’embûches.
A37 ans, Helena Christensen n’a rien à envier aux jeunes mannequins de la nouvelle génération. Elle et ses consœurs – Kate Moss, Cindy Crawford, Naomi Campbell et les autres – ont poussé le métier au-delà de ses limites. D’où vient le succès inégalable de ce dream team des podiums ?
Selon Helena, l’effet de groupe a joué en leur faveur. Elles sont arrivées dans le mannequinat en même temps, sont devenues proches très vite et ont ainsi pu se protéger mutuellement. “Il y avait une synergie particulière entre nous, on avait toutes de fortes personnalités mais des physiques très différents, ce qui a limité la compétition et nous a préservées.” Après quinze ans dans la mode, à la naissance de son fils, Mingus, la Danoise a mis un bémol à sa carrière. “J’avais alors 30 ans et il m’a semblé tout naturel de ralentir mon rythme pour me consacrer à lui”. Côté cœur, après Michael Hutchence d’INXS et Billy Corgan des Smashing Pumpkins, elle garde le goût des
rockeurs et fréquente depuis neuf mois un jeune chanteur encore peu connu. Ses objectifs restent variés, entre la photographie – une passion qu’elle cultive depuis son adolescence – et des essais au cinéma, notamment dans le film d’auteur danois Allegro (sorti il y deux mois). Mais Helena est aussi une mère et confie volontiers son rêve d’avoir d’autres enfants. Femme complète et épanouie.
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