Selon un rapport confidentiel révélé par Les Echos d’aujourd’hui, les escroqueries aux allocations chômage feraient vivre près de 10 000 personnes à Paris. L’Unedic a identifié 32 «gérants à risques» qui dirigent 677 sociétés. La fraude s’exercerait de la façon suivante : les salariés fictifs sont faussement licenciés après un délai de 6 mois et font valoir leurs droits à l’assurance chômage. Les deux tiers des sociétés frauduleuses seraient installées en région parisienne.
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